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La recherche et les services publics dans la physique et la chimie de l’atmosphère de la Terre et des autres planètes, ainsi que de l’espace extra atmosphérique.

Ce printemps, l'Arctique a été marqué par ce qui pourrait être le plus grand trou dans la couche d'ozone jamais enregistré au-dessus du pôle Nord. Le trou dans la couche d'ozone est un phénomène saisonnier observé chaque année au-dessus des régions du pôle Sud (Antarctique). Le trou d'ozone au-dessus de l'Arctique est un événement beaucoup plus rare. Depuis le début des mesures satellitaires en 1978, un seul trou d'ozone a été observé au-dessus du pôle Nord auparavant, en 2011. Des conditions météorologiques inhabituelles sont à l'origine de ce phénomène exceptionnel.

Une question nous est parvenue cette semaine : « est-ce juste une impression, ou le ciel est-il plus bleu qu'avant le confinement ? »  Il ne s'agit pas du temps ou des nuages, mais de la couleur du ciel même.

Pour répondre à cette question, notre scientifique, Christine Bingen, a écrit l'article « Ciel: pourquoi est-il bleu? »

Il est incroyable de penser que des morceaux d'une protoplanète - un embryon de planète qui n'a jamais eu l’opportunité de se développer - ont été dispersés dans le système solaire et ont fait leur chemin jusqu'à la planète Terre, à notre époque ! Et ce n'est pas tout, un fragment de la protoplanète Vesta est même arrivée jusqu'en Belgique. Sa chute à travers la toiture d’une grange du village de Tintigny, dans le sud du pays, fut observée en 1971 par M. Eudore Schmitz. Elle fut confiée à l’instituteur du village pour identification, mais tomba dans l’oubli pendant plus de 40 ans.

De nombreux articles et déclarations ont circulé sur les effets du Coronavirus sur la qualité de l'air, y compris de notre part (voir l'article sur la pollution d’NO2 en Chine). Nous aimerions penser que la qualité de l'air s'est considérablement améliorée depuis que nos vies ont été pratiquement arrêtées, mais, comme toujours, la réalité est complexe. Voici quelques faits scientifiques pour vous.

Les limites de la Terre, où peuvent-elles bien être ? Nos arrière-arrière-arrière-grands-pères et grands-mères ont réfléchi à cette question avec la conviction qu'il fallait bien la trouver quelque part. Bien sûr, nous savons maintenant qu'il n'y a ni fin ni limite puisque nous vivons sur une sphère (même si, malheureusement, certains semblent ne pas avoir encore saisi cette idée), mais il existe bien des endroits où l'on peut avoir l’impression de se trouver aux confins de la planète.

L'instrument ASPA a connu une naissance peu conventionnelle par rapport aux instruments de télédétection habituels que nous développons à l’IASB. Il a été conçu, construit, testé et utilisé sans aucune ligne budgétaire spécifique. Néanmoins, selon mon expérience, sa réalisation est un énorme succès étant donné les ressources limitées (en temps et en argent) qui étaient disponibles.